Le calendrier infernal de Séville en pleine crise

Quique Sánchez Flores a démarré sur les chapeaux de roue. Une victoire 3-0 contre Grenade pour ses débuts en tant qu’entraîneur de Séville le 19 décembre. Depuis, ils n’ont toujours pas remporté la moindre victoire dans la compétition. LaLiga et n’a réussi à s’imposer qu’en Copa del Reycontre le Racing de Ferrol (1-2).

Avant que le Alavésvendredi dernier, ils ont subi une nouvelle défaite. Cette fois-ci, devant leurs supporters, dans la Ramón Sánchez Pizjuán. Ils ont réussi à égaliser un déficit de 0-2 grâce à des buts de Rafa Mir en 70′ et Lucas Ocampos à la 82e minute sur penalty. Mais un but de Rubén Duarte à la 90e minute les a condamnés à nouveau.

La situation est délicate. Flirtant avec la relégation, le Quique Sánchez Flores sont à la seizième place avec 16 points. Si le Cadix clôturera la journée dans la zone difficile du tableau.

UN CALENDRIER TRÈS CRUEL

Mais l’enfer de Nervión pourrait être bien pire. Le calendrier a été cruel pour Séville et n’incite pas à l’optimisme.. En outre, les Sévillans devront affronter une longue liste d’équipes et de stades très compliqués au cours des 40 prochains jours.

Le « tourmalet » commence le 16 janvier, avec une visite à l’Institut d’études de marché de l’Union européenne. Colisée Alfonso Pérez. Un stade toujours compliqué à cause de la façon dont Bordalás soulève les allumettes de son Getafe. Fougueux, fermés et très espiègles, ils sont capables de déstabiliser n’importe qui.

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Puis, le 21 janvier, nous irons rendre visite à l’équipe la plus en vogue d’Europe, le Gérone à partir de Míchel. Il n’y a pas grand-chose à dire sur l’équipe catalane. Dynamique, séduisante et divertissante, elle est l’équipe qui marque le plus de buts en Coupe du Monde. LaLiga (46 buts). Quelques défaillances en défense et le match sera complètement plié.

Le 27 janvier, ils accueilleront Osasuna dans le Pizjuán et le 5 février pour visiter le Rayo Vallecano à Vallecas. Deux équipes qui ont toujours tendance à compliquer les choses. Pourtant, sur le papier, c’est la partie « faible » du marathon sévillan.

Les choses se corsent en février. Atlético de Madrid à domicile (11 février), Valence à Mestalla (18 février), Réel Madrid dans le Santiago Bernabeu (25 février) et Real Sociedad à l’adresse San B(3 mars). Si rien ne change, une catastrophe majeure pourrait survenir à Séville.

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