Le Paris Saint-Germain a lancé un ultimatum à la mairie de Paris. L’équipe française, qui souhaite prendre possession de l’ensemble du Parc des Princes, a menacé l’administration de lui adresser un ultimatum. de quitter la ville s’il ne cède pas à la pression de l’équipe.
L’équipe parisienne prévoit de d’acquérir le Parc des Princes dans son intégralité dans le but d’améliorer les installations du stade et d’augmenter sa capacité. Nasser Al Khelaïfi veut dynamiser le projet sportif du PSG avec une rénovation importante du stade, même si elle semble être limitée par les l’administration parisienne qui détient un pourcentage élevé des droits sur le stade.
L’équipe parisienne insiste depuis un certain temps sur l’achat du stade, un projet qui n’a pas encore abouti. L’équipe parisienne insiste depuis un certain temps sur l’achat du stade, une affaire qui semblait proche mais qui s’est enlisée ces derniers mois. Aujourd’hui, la position de la Ville de Paris semble avoir changé, et elle se montre intransigeante face aux menaces de son équipe municipale.
La patience est à bout
Les refus persistants concernant la vente du stade ont la patience de Nasser Al Khelaïfi. Le président parisien a lancé un ultimatum : s’ils n’obtiennent pas la totalité du stade dans les trois prochains mois, ils partiront. Le magnat arabe reconnaît être en retard par rapport à d’autres stades de sport d’éliteIl n’a pas l’intention d’attendre longtemps avant de prendre sa décision.
Dans une déclaration à RMC Sport, le président est allé plus loin et a indiqué les raisons possibles pour lesquelles ils ne vendent pas le stade à l’équipe : « Ils ne nous vendent pas le stade parce que nous sommes arabes, nous sommes du Qatar. C’est très grave de dire ça« , explique-t-il.
Al Khelaïfi prétend avoir quelques alternatives si l’achat du Parc des Princes ne peut être finalisé. Pour l’instant, l’équipe parisienne s’est retirée de l’appel d’offres pour l’achat du Stade France (le stade où l’équipe de France joue ses matchs), le jugeant irréalisable. Al Khelaïfi va-t-il mettre ses menaces à exécution ?