MADRID, 4 octobre (CALPA PARIS) –
Le président de la Confédération espagnole des organisations d’entreprises (CEOE), Antonio Garamendi, a insisté ce mercredi sur son rejet d’une éventuelle amnistie pour les prisonniers du procés.
« Je le répète clairement, nous ne partageons pas le mot amnistie », a déclaré le chef d’entreprise aux questions des journalistes lors de sa participation au ‘Madrid Forum Leaders’.
En ce qui concerne la candidature de Pedro Sánchez à la présidence du gouvernement proposée par le roi Felipe VI, M. Garamendi a rappelé qu’il appartient désormais aux groupes parlementaires de voter pour la soutenir ou non.
« Pour l’instant, le roi lui a confié la possibilité de voir s’il peut former un gouvernement (…) Je crois que c’est dans le cadre normal et constitutionnel de la façon dont le roi propose une personne pour voir si elle peut former une majorité », a-t-il déclaré.